Nulla Osta n. 7.601 del 26.2.1915
«In Cretinetti e le donne [...] ancora più evidente, notiamo l’utilizzazione del mezzo tecnico cinematografico per creare effetti comici puramente visivi e filmici. La trama [...] e semplicissima, ma fantasiosa» (J. Pantieri, Gli eroi della risata, Giordano Editore, Milano, 1965).
«Le più tremende scene di panico [dei film di André Deed] sembrano governate da un rigore comportamentale che coinvolge tutti gli interpreti ma che vede in lui, in Cretinetti, l’uomo-automa, l’albero motore di questo congegno della risata dalla precise premesse e dagli sviluppi implacabili. Così avviene anche quando gli sviluppi sono semplici, come in Troppo bello! (settembre 1909), nato come commedia galante e chiuso da una corsa allo sventramento» (P. Cherchi Usai, Giovanni Pastrone, La Nuova Italia, Firenze, 1985).
«Les prothèses que les petits clowns s’inventent - les accessoires autant que les gags oú on les utilise - sont aussi, elles, des prothèses phalliques, comme si nos hommes sevaient compenser une impuissance congenitale: dans Cretinetti che bello! (1909), les longues chaussures pointués du protagoniste ne font pas pour rien s’evanouir d’admiration toute femme qu’il rencontre en chemin. Un sapin de Noël ou un porte-manteau, dans les mains du comique, devient à son tour un phallus dévastateur, qui viole littéralement tout un café Iorsque Deed le passe, devant lui, par la porte d’entrée. Aussi encombrant qu’il est démesuré, il trahit certes, d’emblée, un désir ambigue. Les femmes elles-mêmes, dans le burlesque, sont dès le début autant craintes que désirées. A la fin de Cretinetti che bello!, Deed est littéralement mis en pièces par toutes celles qu’il a séduites en passant» (P. KraI, Les fantômes de l’aube, “Positif”, n. 299, janvier 1986).
«In Cretinetti che bello! (1909), his elegant suit and pointed boots attract frenzied pursuit by admiring - even lustful - ladies. The striking similarity to the chase of the would-be brides in Seven Chances strongly suggests that Keaton may have seen the film in his vaudeville childhood» (D. Robinson, The Italian comedy, “Sight & Sound”, n. 2, spring 1986).